Le projet de forage DFDP (Deep Fault Drilling Projet) a permis de révéler l’existence d’une faille géothermique avec des températures étonnamment élevées et un grand potentiel de ressources géothermiques dans la région des alpes néo-zélandaises. Le gradient géothermique atteint près de 125°C/km, soit plus de 4 fois la valeur rencontrée habituellement à la surface de la Terre. La communauté scientifique française, avec notamment des chercheurs du laboratoire ISTerre a joué un rôle central (…)
The European Research Council (ERC) has announced the list of 231 winners selected at European level for the Advanced Grant 2016 call. With 540M€, this funding will enable these European leading researchers to develop their most creative ideas that can have a major impact on science, society and economy.
Such as two other researchers from OSUG (Jérôme Bouvier and Cecilia Ceccarelli - IPAG), Michel Campillo has been selected to finance his project "Seismic Functional Imaging of the Brittle (…)
Les mécanismes de préparation des grands tremblements de terre restent mal compris et documentés. C’est pourtant une question cruciale pour parvenir à une meilleure évaluation du risque sismique aux frontières de plaques, à laquelle des chercheurs d’ISTerre, associés à d’autres laboratoires internationnaux Les laboratoires associés : , ont tenté de répondre. Deux modèles concurrents ont été proposés pour expliquer la phase de préparation aux grands tremblements de terre : une interprétation (…)
Valentina Batanova and Alexander Sobolev from ISTerre were part of an international team of researchers who discovered that deep portions of Earth’s mantle might be now as hot as they were more than 2.5 billion years ago. This result was recently published in Nature Geoscience, May 22, 2017, bringing new, unprecedented constraints on the thermal evolution of the deep Earth over the last 4.5 billion years.
It is commonly accepted that the Earth has cooled through its history due to (…)
Que font les chercheurs de l’équipe Géodynamo pour fêter les 20 ans de la création de leur équipe ? Un congrès scientifique... deux jours de travail au vert à Autrans dans le Vercors pour apprécier le travail accompli mais surtout pour discuter les nouveaux axes de recherche dans ce domaine : Comment une planète, comme la Terre, fabrique-t-elle son champ magnétique ?
Il n’y a pas de meilleurs moments que de partager et discuter nos découvertes... Pour cela, ils ont invité leurs (…)
Il vous est certainement arrivé d’entendre le bruit de bulles lors d’une plongée dans un lac ou dans la mer. Les bulles constituent en effet des sources remarquables d’énergie acoustique, surtout lors de leur formation ou de leur éclatement à la surface.
ISTerre développe des recherches dans le but de suivre le dégazage à la surface de la Terre. Dans le cadre d’une coopération avec l’institut d’océanographie WHOI (Massachussetts, USA), Jacques Grangeon, ingénieur à ISTerre, a développé un (…)
Mercredi 3 mai s’est tenue à ISTerre une journée scientifique en mémoire à Jocelyn Guilbert qui avait soutenu sa thèse en sismologie au LGIT en 1996. Nombreux étaient ses amis et ses collègues qui sont venus pour lui rendre cet hommage, nous remercions Fabrice Cotton pour l’organisation ainsi que tous les participants venus de Paris, Potsdam, Indonésie, Genève, Caen, ainsi que tous les étudiants qui ont assisté à cette journée.
Certaines des catastrophes naturelles les plus destructrices, comme les séismes, résultent de la relaxation brutale d’énergie élastique à travers un processus impliquant friction et rupture. Proposé en 1773 pour des applications en génie civil, le critère de rupture de Coulomb demeure de nos jours, malgré son caractère empirique, le cadre générique d’interprétation et de modélisation de ces instabilités. De très nombreux travaux ont démontré sa pertinence à décrire la dépendance de la (…)
Through a combined analysis of satellite images and seismic waves, a French-American team from ISTerre and California Institute of Technology (Caltech) investigates the recent Mw 7.8 earthquake near Kaikoura, New Zealand (2016). They observe major surface ruptures, with up to 12 m. strike-slip displacement, located far from onset of earthquake slip. Properties of the seismic waves indicate the earthquake slipped on a dipping thrust fault at depth, and propagated to the northeast for 120 (…)
Les zones de subduction produisent les séismes les plus forts et les plus destructeurs jamais enregistrés sur Terre. Plusieurs chercheurs internationnaux , dont certains des laboratoires ISTerre et Geoazur (CNRS / IRD / OCA / Université Nice Sophia Antipolis) se sont regroupés pour déterminer la localisation et l’extension des zones de ruptures sismiques des prochains grands séismes, qui demeure l’un des défis majeurs à relever en Sciences de la Terre, avec un enjeu sociétal pour les (…)